L’être humain, maillon faible de la sécurité, plus encore s’il s’agit d’un homme d’après un concours d’attaques de social engineering organisé lors de la DefCon. Sur 135 salariés visés, seuls 5 n’ont pas divulgué les informations recherchées par les hackers. Les 5 étaient des femmes.

Selon le consultant en sécurité Jonathan Ham, qui réalise des tests de social engineering dans le secteur de la finance, les femmes, plus encore lorsqu'elles ont des responsabilités de manager, sont plus difficiles à abuser car souvent plus suspicieuses.

 

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Source : ZDNet.fr Sécurité